Fils d'enseignants de marins de potiers , ils ont laissé faire tant que de honte complice ils se taisent à jamais.

Préférant oublier combien part du gateau il était nécessaire d'avaler d'une seule traite et ne jamais passer pour un con auprés d'un salaud.

Etre syndicaliste aujourd'hui c'est vouloir inverser la force du travail, la retourner enfin tant que l'on a par de l'actionnariat, devenir prolétaire et patron responsable en memoire , trop pauvre ils ne peuvent qu'exploiter leurs enfant par la consommation de biens imaginaires, ils erigent leur profit et si le superflux l'innovation service s'essofle ils créent de beaux besoins sucrés comme des drogues, ces nouvelles maladies nécrophages en tout genre et les gens qui adeptent papillonnent regardent un peu tout ça.

Sans se pecialiser pour un combat prochain, répondre à une question, une seule mieux que toutes les autres: comment?
Comment faire face à la machine, aucune pensée fabrique ne pourait prendre vie, poésie insolente , arhytmie dissonante :

que de ne pas pouvoir offrir à sa femme des chaussures, un restau on en rève, trés bientot de la viande à chacun des repas, du vrai café au zinc des cloppes qui fument donc , un endroit où l'on parle où les avis s'échangent.

Des lieux de vie de peine, de rencontres réelles et pas des systèmes experts, discriminant par lois, discret gare aux secrets, qui balisent le monde et le prépare à la guerre atomique des humeurs débordent, là où commerce règne aucune joie survit.

Pas besoin de courage, de force de l'esprit, si tout est calibré le bonheur fait spectacle verni bien à la cire comme une pomme grosse qui ne moisit jamais, cet immonde parfait à la crème bercé, avale tout qui passe et pue déodorant.

Refléchisser au mot, reflechissez aux maux, DE - ODORANT, ça pue.

Au secours , je vis dans un monde où chaque chosea sa place : les fous avec les fous, les malades maldes avec les malades, les handicapé disparus de la circulation ... la place est nette , le public applaudit

les hirondelles pas qu'au printemps, les corbeaux noirs de plus en plus portent le deuil de rèves orphelins.Il doit y avoir des tas de gens qui meurent ainsi dans nos montagnes  à trop vouloir passer les cols, ne pas croiser trop de gendarmes, tous ces passeurs sont des paysans trop désoeuvrés, des gars du coin ils rançonnent sans morale aucune, nul ne leur échappe plus.

Toutes les tactiques sont bonne à prendre pour déjouer les destins , en premier lieu l'école pour la révolution de demain encore et puis du pain , du  riz des oeufs des sucres lents pour tenir bien.

En quelque ans on change donne avec le sucre on donne des ordres à des larves devenues gourmandes avides et servilles , la carne ou le pétrole le chantage s'inverse, c'est le brésilien qui se reveille en premier lui si pauvre oui mais surtout inégalitaire , libéral, il ne garantit rien par son administration indigeante, corompue. Cet état est trop faible il a du mal à coincer les trop riches trop vite, trop mal par l'impot, un juste retour de toute chose à ceux qui la produise cette richesse, verte en particulier.

c'est casser l'effet de la greve, c'est retirer le fond des choses que le combat réclame, c'est tuer toute résistance syndicale dans l'oeuf d'une contre  révolte qui fait peur.