Le blog de jpsolari

que de ne pas pouvoir offrir à sa femme des chaussures, un restau on en rève, trés bientot de la viande à chacun des repas, du vrai café au zinc des cloppes qui fument donc , un endroit où l'on parle où les avis s'échangent.

Des lieux de vie de peine, de rencontres réelles et pas des systèmes experts, discriminant par lois, discret gare aux secrets, qui balisent le monde et le prépare à la guerre atomique des humeurs débordent, là où commerce règne aucune joie survit.

Pas besoin de courage, de force de l'esprit, si tout est calibré le bonheur fait spectacle verni bien à la cire comme une pomme grosse qui ne moisit jamais, cet immonde parfait à la crème bercé, avale tout qui passe et pue déodorant.

Refléchisser au mot, reflechissez aux maux, DE - ODORANT, ça pue.





Ven 16 mai 2008 1 commentaire
Quel bonheur de n'avoir que cela à déplorer dans une vie de couple... quoi de plus désoeuvrant que des montagnes d'utilités futiles comme des fringues ou des chaussures quelle idée aussi de faire du 43 !!! quel constat d'un homme qui offre à sa femme chaque jour des rires aux éclats, des larmes d'émotions, des ......... non je n'irais pas jusque là mais crois moi ce n'est pas rien.... je t'aime
élise - le 16/05/2008 à 10h21